Ce sont les clientes qui en parlent le mieux"!

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Une histoire de Circonstances

Au début des années 80, jeune diplômée, je me heurte à la dureté du monde professionnel. Plutôt que d’être vaincue ; j’utilise l’adversité pour aiguiser son tempérament. Plutôt que d’espérer jusqu’au découragement le poste correspondant à ma qualification; j’enchaine volontairement des emplois à temps partiel en gardant intacte mon ambition et mon objectif de carrière.   

En trois ans, j’ai acquis une expérience aussi riche que vaste en explorant avantageusement les nombreux axes de mon éventail de compétences (Formation, Conception, Fabrication, Direction Stratégique, Recherche, Analyse et Conseil). 

Trois étapes légitiment ma démarche...

Etape 1 – Un Tournant Inattendu

En 1987, je pilote l’expansion commerciale de Gazelle International, une marque de soin distribuée dans le secteur de la parfumerie sélective en France et aux Etats-Unis, pour celles que l’on appelait encore les femmes de couleur. Mon histoire ne m’enfermait pas dans des considérations ethniques sectaires. Je découvre alors, ce concept français de la dite «ethnocosmétique » ciblant restrictivement les « peaux noires et métissées » ; les peaux africaines foncées auxquelles s’adjoignent une part confuse de métissages.

Pour la formation des démonstratrices j’ai besoin de rédiger un manuel décrivant les différences entre peaux africaines et européennes. J’avais des compétences certaines en biologie, chimie cosmétologie et esthétique. Je connais les peaux européennes claires ; mais, j’ignore ce que peuvent-être les différences structurelles des peaux africaines.

Etape 2 – Une Quête Incessante

Je fais alors une rencontre déterminante pour ma carrière, quand le Professeur Jean-Pierre Césarini ; scientifique de renommée internationale au savoir encyclopédique sur les peaux africaines ; directeur du Laboratoire de Recherche sur les Tumeurs de la Peau Humaine, me reçoit à la Fondation Rothschild, pour répondre à mes préoccupations insistantes.

Nous instaurons un dialogue éclairé d’où nait ma passion exigeante et mon engagement dans un travail documenté de recherche sur les peaux africaines, multipliant dialogues, séminaires et contacts divers notamment aux Etats-Unis.

Etape 3 – Une Amitié Constructive

Monsieur Césarini m’introduit au travail du Docteur Susan Charlene Taylor, dermatologue-clinicienne et chercheur. Son champ d’exploration et de réflexion ne se limite pas aux Peaux Africaines. Elle englobe toutes les Peaux Brunes sans sectorisation par l’ascendance ethnique.

Nous partageons avec la même ambition l’intuition d’un marché plus vaste, mieux structuré ; la complémentarité de nos parcours renforce nos compétences. Nous installons un espace de recherche et réflexion sous forme de dialogue.

En 2003, je crée en France un outil d’initiatives révolutionnaires qui comble le manque de réflexion et définit l’équation du succès sur le marché des Peaux Brunes

La profession me reconnaît la qualité d’Expert.

Une histoire de Personnes

« Le soin de soi est un plaisir essentiel pour bien se vivre ! » dixit Colette Léotin (ma mère). Mon appropriation de cette phrase a orienté ma trajectoire professionnelle audacieuse m’entrainant dans un parcours original en quatre temps ; mue par ma curiosité dévorante, une détermination sans faille et un intérêt marqué pour ce qui donne aux métiers de la Beauté leur dimension humaine.   

Quatre étapes pour définir les contours d'une carrière

Etape n°1 – Une Expérience Concluante

L’été de mes douze ans ; ma mère me fait découvrir, l’Encyclopédie de la Beauté et de la Mode ; ouvrage qui marquera le début de mon aventure. J’ai testé toutes les méthodes décrites dans ce livre, sous le regard attentif de ma mère qui ne permettrait pas que cet apprentissage nuise à ma peau ou mes cheveux. Cette première initiation sur la base de critères qu’on penserait mieux adaptés aux peaux européennes est la preuve concrète qui renforce mon argumentaire professionnel.

Etape n°2 – Une Rencontre Décisive

A 14 ans, lors d’une animation proposée par une marque prestigieuse de la parfumerie sélective, je rencontre une esthéticienne passionnée qui touche ma sensibilité ; ce qui me fait dire avec enthousiasme, en retrouvant ma mère : « Je veux être esthéticienne !»

Etape 3 – Une Détermination Soutenue

Quoique ma mère n’ait eu de préjugé sur le métier d’esthéticienne ; elle m’invita à me concentrer sur l’échéance du Baccalauréat. Ce sésame scientifique en poche avec mention, je ne trouve aucun cursus universitaire servant mon objectif. J’entre alors en cosmétique par la chimie ; déplorant de ne pouvoir renforcer mes connaissances empiriques sur la peau et les cheveux.

Après ma licence, puisque depuis mes 14 ans, ma persistance ressemblait plus à un choix réfléchi qu’un caprice ; ma mère me concède une formation en Esthétique-Cosmétique dans la meilleure école de Paris ; pour que je devienne enfin une esthéticienne hautement qualifiée.

Etape n°4 – Une Rencontre Inspirante

Mon niveau d’études me laissait prétendre à une qualification supérieure. J’ai alors découvert un nouveau cursus ; voulu par l’industrie cosmétique pour former des jeunes femmes aux fonctions d’encadrement. Ainsi, je fus la première non européenne à intégrer une promotion élitiste de 25 recrues au plan national ; pour obtenir après deux ans un troisième diplôme clé.  

C’est là que j’ai découvert toute la valeur du Marketing ; comprenant que le client plus que le produit est le maillon capital d’une chaine marchande.

Ma passion exigeante pour ce dernier et mon intérêt pour « le soin de soi » m’ont conduite à un Master en Marketing, avant de vouer mon éventail panoramique de compétences à l’Univers des Cosmétiques.

« Le soin de soi est un plaisir essentiel pour bien se vivre ! » dixit Colette Léotin (ma mère). Mon appropriation de cette phrase a orienté ma trajectoire professionnelle audacieuse m’entrainant dans un parcours original en quatre temps ; mue par ma curiosité dévorante, une détermination sans faille et un intérêt marqué pour ce qui donne aux métiers de la Beauté leur dimension humaine  

Quatre étapes pour définir les contours d'une carrière

Etape n°1 – Une Expérience Concluante

L’été de mes douze ans ; ma mère me fait découvrir, l’Encyclopédie de la Beauté et de la Mode ; ouvrage qui marquera le début de mon aventure. J’ai testé toutes les méthodes décrites dans ce livre, sous le regard attentif de ma mère qui ne permettrait pas que cet apprentissage nuise à ma peau ou mes cheveux. Cette première initiation sur la base de critères qu’on penserait mieux adaptés aux peaux européennes est la preuve concrète qui renforce mon argumentaire professionnel.

Etape n°2 – Une Rencontre Décisive

A 14 ans, lors d’une animation proposée par une marque prestigieuse de la parfumerie sélective, je rencontre une esthéticienne passionnée qui touche ma sensibilité ; ce qui me fait dire avec enthousiasme, en retrouvant ma mère : « Je veux être esthéticienne !»

Etape 3 – Une Détermination Soutenue

Quoique ma mère n’ait eu de préjugé sur le métier d’esthéticienne ; elle m’invita à me concentrer sur l’échéance du Baccalauréat. Ce sésame scientifique en poche avec mention, je ne trouve aucun cursus universitaire servant mon objectif. J’entre alors en cosmétique par la chimie ; déplorant de ne pouvoir renforcer mes connaissances empiriques sur la peau et les cheveux. Après ma licence, puisque depuis mes 14 ans, ma persistance ressemblait plus à un choix réfléchi qu’un caprice ; ma mère me concède une formation en Esthétique-Cosmétique dans la meilleure école de Paris ; pour que je devienne enfin une esthéticienne hautement qualifiée

Etape n°4 – Une Rencontre Inspirante

Mon niveau d’études me laissait prétendre à une qualification supérieure. J’ai alors découvert un nouveau cursus ; voulu par l’industrie cosmétique pour former des jeunes femmes aux fonctions d’encadrement. Ainsi, je fus la première non européenne à intégrer une promotion élitiste de 25 recrues au plan national ; pour obtenir après deux ans un troisième diplôme clé. C’est là que j’ai découvert toute la valeur du Marketing ; comprenant que le client plus que le produit est le maillon capital d’une chaine marchande. Ma passion exigeante pour ce dernier et mon intérêt pour « le soin de soi » m’ont conduite à un Master en Marketing, avant de vouer mon éventail panoramique de compétences à l’Univers des Cosmétiques.

Charlayn face au miroir

Vous Avant/Après et en couverture de ELLE !